Le 1er septembre, nous avons entamé la nouvelle année ecclésiale dans la tradition byzantine. Il est donc temps de jeter un regard sur le passé pour aller de l'avant, propose Mathias Werfeli sj.
Né en 1977 dans une famille réformée de Bâle-Campagne, il a étudié l'histoire et l'anglais à l'Université de Bâle. Un séjour linguistique l'a conduit à Londres, où il a enseigné l'allemand pendant un an. Après ses études, il a travaillé pour Swissport à l'aéroport de Bâle, puis pour la manifestation musicale Basel Tattoo. Dans l'armée suisse, il a travaillé comme officier de presse et d'information après avoir suivi diverses formations continues dans le domaine de la communication et des médias. Dès le lycée, Mathias Werfeli s'est intéressé à la spiritualité et à la liturgie de l'Église orientale et a chanté dans la chorale de la communauté ukrainienne gréco-catholique de Zurich. Parallèlement, il a participé à la vie de la communauté universitaire catholique de l'Université de Bâle, où il a appris à connaître et à apprécier les jésuites et la spiritualité ignatienne. En 2015, il a suivi l'appel de Dieu et est entré chez les jésuites pour chercher et trouver Dieu en toutes choses. Après des études de théologie et de philosophie à Paris dès 2017, il rentre dans son pays -la Suisse- en 2021, où il oeuvre au sein de la communauté catholique universitaire (aki) à Zurich. Depuis 2022, il vit et étudie à Rome, au Collegio S. Roberto Bellarmino.
Le 1er septembre, nous avons entamé la nouvelle année ecclésiale dans la tradition byzantine. Il est donc temps de jeter un regard sur le passé pour aller de l'avant, propose Mathias Werfeli sj.
Avez-vous bien passé le cap de la nouvelle année? Et avez-vous déjà -espérons-le- jeté aux oubliettes toutes vos bonnes résolutions? Du «dry january» à l'élimination de kilos superflus, en passant par…